Les meilleures phrases de Piqué : ses messages à Madrid, l’Espanyol, les arbitrages…

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Sf Gerard Piqué s’est caractérisé par quelque chose tout au long de sa carrière, en plus d’être un grand défenseur central, c’est à cause du jeu qu’il a donné avec un micro à ses côtés. Le Catalan ne s’est jamais mordu la langue et s’est retrouvé dans toutes les flaques possibles. Il a clairement exprimé son anti-madridisme, il a plaisanté plus que nécessaire avec l’Espanyol à l’occasion et n’a pas mesuré ses plaintes auprès de l’instance d’arbitrage lorsqu’il s’estimait lésé. Ces sujets et bien d’autres recueillent les meilleures phrases de lui de l’autre côté du terrain.

À propos du Real Madrid

“Nous savons que lorsque nous arrivons au Bernabéu, nous devons être infiniment meilleurs que Madrid car si le match est égal, l’arbitre entre en jeu.”

“Ce que je n’aime pas à Madrid, ce sont les valeurs qu’il transmet. J’apprécie les joueurs de ce vestiaire qui portent beaucoup le maillot madrilène, certains d’entre eux sont même mes amis. Ce que je n’aime pas à Madrid, c’est voir les personnalités dans la boîte et comment elles bougent les ficelles de ce pays. C’est la seule chose que je n’aime pas. La dame qui a accusé Messi, Neymar, et qui traite Cristiano différemment, est assise à côté de Florentino Pérez dans la boîte et rien C’est ce pays et c’est comme ça depuis toujours. Je ne vais rien expliquer de nouveau. Je ne vais pas non plus faire une liste comme Mourinho l’a fait. Nous savons déjà comment cela fonctionne. C’est ce que Madrid transmet”.

Ce que je n’aime pas à Madrid, c’est de voir les personnalités dans la surface et comment elles font bouger les ficelles de ce pays.”

“Heureusement, ils n’ont pas plus de sections comme le handball ou le hockey, car sinon, ils se plaindraient aussi des arbitres. C’est la stratégie qu’ils utilisent, il faut s’y habituer.”

“J’ai vu la demi-finale de Madrid contre la Juventus avec le maillot de Buffon. Je suis comme ça et je veux que Madrid perde toujours. C’est la rivalité sportive qui a toujours existé. Ils ne vont pas me changer”.

“Pour moi, être sifflé au Bernabéu est une symphonie.”

Gerard Piqué célèbre un but au Santiago Bernabéu (Diego G. Souto / MARCA)
Gerard Piqué célèbre un but au Santiago Bernabéu (Diego G. Souto / MARCA)

“Être président demande beaucoup de sacrifices et il faut faire une garantie de 150 millions. Florentino veut l’augmenter pour qu’il n’y ait personne d’autre.”

“Je préfère mourir que d’aller au Real Madrid”.

“On veut jouer au football et pas à la roulette, c’est ce qui cause l’arbitrage. On l’a vu à Madrid-Séville. J’espère qu’ils élèveront le niveau.”

Sur l’indépendance de la Catalogne et la sélection

“Je joue pour l’Espagne parce qu’en ce moment je suis espagnol, pas par prestige. Mon club a remporté deux triplés et un sextuor.”

“Je me suis positionné pour le droit de décider et je pense toujours aussi fermement. Dans un État démocratique, le droit de décider est la chose la plus démocratique qui soit.”

“A 31 ans, je n’étais pas content d’être convoqué toute une semaine à Las Rozas.”

Je joue pour l’Espagne parce qu’en ce moment je suis espagnol, pas par prestige. Mon club a gagné deux triplés et un sextuor.”

“Depuis que j’étais un petit garçon et que j’ai vu Luis Enrique saigner et tacher son maillot lors de la Coupe du monde 1994, mon rêve était de jouer pour l’équipe nationale.”

“Ce n’est pas mon cas, mais un indépendantiste pourrait jouer dans l’équipe nationale parce qu’il n’y a pas d’équipe catalane. Ils n’ont rien contre l’Espagne. Si vous pensez que l’Espagne est l’hôte et qu’il y a des putains de gens, pourquoi un indépendantiste ne pourrait-il pas jouer ici ? Et ce n’est pas mon cas.”

Piqué embrasse la médaille qui l'accrédite comme champion du monde (Pablo García / MARCA)
Piqué embrasse la médaille qui l’accrédite comme champion du monde (Pablo García / MARCA)

“Je ne dirai pas si je suis un parti indépendantiste ou non. Je ne peux pas décider, je suis une figure mondiale et je joue au football. Mes enfants sont colombiens, libanais et catalans.”

“La Catalogne est le fils de 18 ans qui veut quitter la maison. Le gouvernement espagnol doit s’asseoir et parler ou le fils partira. S’asseoir et parler, c’est bien. Le dialogue rapproche les gens. La chose la plus importante est le respect et le dialogue”.

“Nous, les Catalans, ne sommes pas les méchants, nous voulons juste voter. Que je doive ou non aller dans l’équipe nationale n’est pas une question patriotique. Celui qui y va n’est pas le plus patriote, ce qu’il faut faire, c’est aller donner faites de votre mieux. Ce n’est pas une compétition de patriotisme”.

Le Barça

“Je n’ai pas la motivation de porter un autre maillot que celui du Barça. Le plus normal, c’est que si je jouais pour un autre club, je l’aurais déjà quitté.”

“Si je remplis le contrat, ce sera 14 ans au Can Barça plus six ou sept autres dans les catégories inférieures. Je suis membre depuis ma naissance, je ressens le Barça comme ma maison, c’est le club de ma vie et je ‘ je suis heureux”.

“Je ne suis pas tellement bon, ce qui se passe, c’est que j’ai la chance de jouer pour le Barça.”

“C’est un luxe de jouer avec Carles Puyol. A 5-0, il continue de m’énerver même si c’est la dernière minute du match.”

L’Espagnol

“A l’actif, j’ai plus que le budget de l’Espanyol cette année.”

“Ceux de l’Espanyol sont très créatifs, mec. Tu fais des chansons très créatives. “Piqué bâtard, Shakira a une queue, ton fils est de Wakaso…” Ils ont tout mis là-dedans. “Allons le râler”… et je me décourage.”

“Espanyol? Ils sont de Cornellà et leur propriétaire est chinois.”

“Ils s’appellent eux-mêmes une merveilleuse minorité. J’espère qu’ils rempliront au moins le champ et ne seront pas aussi minoritaires qu’il n’était même pas plein l’autre jour.”