Lucía Fernanda, à Sara Carbonero: « Enfant, je me souviens avoir chanté et dansé avec mon peuple, j’ai toujours remarqué cette énergie »

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Nou y a-t-il une meilleure façon de clôturer la saison en « Que la danse continue » avec quoi Lucie Fernanda. Sara Carbonero et Vicente Ortega a reçu l’artiste madrilène dans les ateliers de MARQUE Radio comme touche finale au cours. Libre d’esprit et défenseur de ses racines, la chanteuse a présenté son premier album intitulé Yelemqui sort ce vendredi. Douze chansons pleines de bonnes ondes, indispensables pour comprendre son style : « Yelem est l’hymne du peuple gitan. Je me suis inspiré de ce mot pour mettre en avant mes racines. C’est un disque pour danser avec notre peuple« , il assure.

UN ‘La couverture’, ‘Pour toi’ et ‘Canastera’Si un « Danser avec mon peuple »le dernier thème à se dévoiler avec des touches de Pescailla. Une chanson audacieuse et optimiste avec parfois un clin d’œil à ses référents : « Quand j’étais petite je me souviens toujours avoir chanté et dansé avec mon peuple, j’ai toujours remarqué cette énergie ».

petite-fille de John Bean et fille de Antoine Carmonabien qu’elle préfère être juste Lucía Fernanda : « Mes parents n’étaient pas amusés au début que je sois chanteuse parce qu’ils savent à quoi ressemble ce monde, même si maintenant ils l’apprécient. Il était clair qu’il ne voulait pas porter le nom de famille Carmona« , avoue-t-il.

pendant ses études à Cambridge C’est alors qu’il s’est rendu compte que son truc c’était les paroles, le cajon et chanter avec une guitare. Une passion qu’elle partage avec sa soeur Marine Carmona: « Je l’admire, elle est une référence pour moi. A l’avenir nous travaillerons ensemble ».

La race vient au lévrier. Et c’est que chez ses parents il y a eu plusieurs soirées où il n’a pas hésité à chanter ses chansons aux invités : « Il fut un temps où Shakira quand je débutais dans le monde de la musique. À l’époque, je ne chantais pas, mais j’ai toujours eu le rythme dans les veines. »

D’innombrables sujets dans un discours sincère et magique. À quoi vous seriez-vous consacré sinon à la musique ?. Quelles sont vos références musicales ? Ne manquez pas l’intégralité de l’interview, et vous savez… Il faut toujours danser !

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